Une journée d'élections

Catégories : Fist dilatation extrême
il y a 10 ans

Une journée d'élections

Temps gris, froid et pluvieux ce dimanche, drôle de journée de printemps. Au petit déjeuner, Marie m’annonce que ce sera une journée sexe orientée trou du cul. Dans la tradition familiale, une telle décision matinale annonce que nous allons être à poil toute la journée, à la maison avec feu dans la cheminée, occupés à inventer les manières les plus originales de nous travailler le fion. Sexe orienté trou du cul, moi ça me va ; mais il y a autre chose de tout aussi important à faire aujourd’hui : aller voter afin de choisir un Président de la République pour les cinq années à venir ; l’avenir de la France en dépend. Elle y a pensé, Marie :

  • On va d’abord prendre un petit acompte, et puis on ira voter avec chacun un plug au cul, ça m’excite rien que d’y penser ; ce serait encore mieux d’y aller à poil, mais on ne nous laisserait pas entrer ! C’est moi qui ai converti Marie à l’exhibitionnisme et aux joies du travail du trou du cul, mais je me demande parfois si l’élève n’est pas devenue plus obsédée que le maître en ce domaine. Elle allonge le buste sur la table, tournant vers moi un postérieur dont, à deux mains, elle écarte bien les fesses :
  • Lèche-moi le cul ! Marie adore que je lui mette la langue au fion, elle ne rechigne jamais à me rendre la pareille. Il y a sur la table un pot de gelée de framboise, j’en enduis bien le cul offert, en introduis bien au fond du boyau et me mets à l’ouvrage, langue pointée sur l’objectif :
  • Pousse !

Marie « pousse », son anus se déploie en une corolle où ma langue va chercher la moindre trace de framboise. Le spectacle est irrésistible, je bande, j’ai envie d’enculer Marie comme ça, au petit matin. Je commence à lui tartiner une épaisse couche de salive sur la rosette.

  • Non, pas tout de suite ; donne-moi d’abord ton cul que j’y mette la langue. À mon tour de présenter, en écartant les fesses, mon anus qui baille. Marie préfère la confiture de figues à la gelée de framboise, je sens sa langue explorer mon intestin, je frétille d’aise.
  • Bouge pas ! Ma salope ouvre un placard, un autre ; je me doute de ses intentions mais je laisse faire, ce que je devine n’est pas pour me déplaire. Elle me tartine le cul :
  • C’est de la graisse de canard !

Hier nous avons fait du foie gras au torchon, décidément l’esprit vient aux femmes, voilà bien le meilleur usage que l’on pouvait faire de la graisse. Un doigt dans mon cul, puis deux, puis quatre pour bien préparer le conduit. Car, c’est maintenant devenu une habitude, Marie a sorti le rouleau à pâtisserie pour me l’enfourner dans le trou du cul. Original rouleau à pâtisserie, mes lecteurs attitrés en ont déjà entendu parler et l’ont vu en photo, bien planté entre mes fesses : c’est un cylindre en marbre de 6 cm de diamètre, le voici pour mes nouveaux lecteurs.

Pour moi c’est banal mais, à f o r c e d’introductions quotidiennes, mon anus est devenu sensible, la pénétration d’un objet cylindrique doit être préparée pour que la jouissance soit réelle. Cinq minutes de pistonnage, Marie me fesse avec une écumoire tandis que je me branle.

Au tour de Marie, pétrissage de ses seins, de ses fesses que je griffe ; mes doigts dans son cul puis elle à genoux à mes pieds avec, dans sa bouche, ma bite que je pousse bien à fond. Elle debout, collée contre moi, langues en bouches et nos mains dans nos culs, je mets quatre doigts dans son fondement, deux de chaque côté pour bien le dilater.

Dans la chambre, au lit avant d’aller voter. Moi sur le dos, un coussin sous la tête de manière à avoir la bouche au niveau du cul de Marie, tête-bêche au-dessus de moi, le bouche empalée sur ma bite. J’écarte bien les fesses qui me surplombent, ma langue sur son clito, l’ensemble de la moule, puis sur le trou du cul, puis dans le trou du cul que je perfore ; le terme est d’ailleurs trop fort, je n’ai pas à perforer, la fleur du fion s’épanouit ; je l’élargis encore avec les doigts, y enfile un plug, introduits mes doigts de part et d’autre du plug, ma langue s’active partout. La « suppliciée » gémit, me demande d’arrêter un moment, elle ne veut pas jouir tout de suite ; elle prend mes couilles en bouche, me branle.

Tout ça c’est bien beau mais, pour une telle occasion, il me faut du gros dans le trou du cul. La tête du lit est un cadre en bois avec garniture velours ; derrière le cadre j’ai, il y a déjà longtemps, vissé deux gros pitons à chacun desquels pend en permanence une menotte de cheville au bout d’une chaîne dont la longueur a été calculée de manière à ce que le soumis, mâle ou femelle, couché dans le lit soit maintenu sans effort jambes en l’air, bite et cul ou cul et con facile d’accès pour se faire travailler. Aujourd’hui c’est mon tour, j’ai les jambes bien écartées, la bite au vent, le cul offert.

Marie commence pas carrément s’asseoir sur mon visage, pas d’autre solution que lui mettre ma langue dans le trou du cul. Mais la voici qui se lève, va chercher un gant de ménage et de la vaseline dont elle m’enduit cul et fesses. J’ai compris et j’apprécie, je dilate bien mon fondement pour faciliter l’entrée de sa main. Elle sait faire ; en n’allant pas trop vite ça rentre facilement : Marie a la main fine et je me suis déjà fait fister par de plus solides pognes. Quelques va-et-vient, c’est bon, je jouis car je suis un vrai enculé, chacun le sait, je le proclame à tous ceux qui ont envie de bien me connaître. Le gros plug de 72 mm de diamètre succède à la main de Marie dans mon fondement, c’est déjà plus dur mais ma moitié pousse fort, je l’aide, ça rentre, je demande la boule de 85 mm.

Ça c’est autre chose, nous savons que pour la faire entrer il faut une bonne préparation préalable, c’est fait, mais il faut aussi placer la boule sur un coin de table et que je vienne m’asseoir dessus de tout mon poids, jambes en l’air, et attendre que, doucement, le monstre me déchire le sphincter et vienne comprimer ma prostate. Sitôt dit, sitôt fait, Marie graisse, met la boule en place et prend mes boules en bouche pendant que je suis assis sur la boule, si vous voyez ce que je veux dire. Elle adore voir mon cul s’écarter, elle sait qu’après ce sera son tour pas avec la même boule, mais tout de même à la limite de ce que son anus peut accepter.

Voilà, la boule est entrée ; elle ne demande qu’à ressortir mais, pour la tenir en place, j’ai mon harnais habituel, une ceinture en cuir avec une lanière passant entre les jambes de part et d’autre d’un anneau métallique enserrant le paquet bite-couilles et une plaque de cuir à l’emplacement de mon trou du cul que, tant il est vaste, j’ai baptisé Eurotunnel.

Avec tout ça il va être l’heure d’aller voter. Un moment je pense y aller avec la grosse boule dans le ventre, mais c’est quand même trop gros, je la remplace par le plug grenade de 70 mm en gardant le harnais ; mais avant de l’enfiler, Marie prend une photo de mon cul dévasté.

Me voilà équipé, je peux maintenant m’occuper du trou du cul de Marie puisque c’est le sujet du jour. À plat ventre sur le lit, fesses écartées avec ses deux mains, ma femelle n’est pas originale mais elle me fait toujours bander, surtout quand j’ai moi-même la rondelle bien agrandie. De grandes claques sur ses petites fesses, de la vaseline et, sans autre préparation, ma queue se plante au fond du cul, je sens le gland qui bute au bout. Long ramonage, Marie râle ; j’ai failli jouir dans son cul mais me suis retenu à temps pour lui fourrer mon pieu en bouche, elle avale puis me pompe.

Marie prend plaisir à s’équiper elle-même pour aller voter : je n’ai pas acheté de rosebud pour elle, ça décore bien et ça rappelle à celle qui le porte sa condition d’enculée, mais je trouve que c’est bon pour les bobos, je préfère du traditionnel, ça rappelle encore mieux à Marie qu’elle est femelle par l’arrière encore davantage que par devant. Elle s’enfile un plug boule de 4 cm de diamètre dans la rondelle de son cul et fait un string de corde pour tenir la boule en place.

Dommage vraiment de ne pas pouvoir aller voter à poil, Marie enfile juste la plus légère de ses robes, celle qui cache les fesses à condition de ne pas se pencher en avant, rien dessous. Pour moi un pantalon sans slip, et un pull à col roulé. Descente à la mairie, il est bientôt midi, il y a la queue pour déposer un bulletin dans l’urne. La mienne, de queue, est raide comme un piquet : je me demande si d’autres personnes, parmi tous les gens qui sont là, ont un plug au cul. Tous ont l’air très sage, mais nous aussi, en tous cas Marie qui se tient bien droite ; moi je ne me vois pas mais le Maire me parle de manière tout à fait habituelle. Peut-être a-t-il, lui aussi, un plug au cul !

À la sortie, dans la cour qui est celle d’une école, je colle Marie contre moi de manière à ce qu’elle sente bien ma bite contre son ventre, mes deux mains sur ses fesses, et je lui roule une pelle, langues mêlées, sa bouche a encore goût du jus de son cul !

Arrêt à la boulangerie puis, dès l’arrivée dans notre garage, tous deux à poil, c’est facile et vite fait. Nous traversons ainsi le jardin, chacun avec quelque chose en main : moi le pain, Marie ma pine, aussi raide que la baguette ; sans nous préoccuper de savoir si des voisins sont en train de nous mater ; ce qui, malheureusement, ne semble pas être le cas.

De la vodka au jus d’orange en guise d’apéritif, une tradition quand on s’encule, cela nous rappelle notre jeunesse : c’est après une soirée où elle n’avait bu que du jus d’orange, mais dans lequel j’avais mis bonne dose de vodka, que j’ai dépucelé Marie. J’avais déjà envie de l’enculer mais je ne le lui ai pas proposé ce jour-là et il lui a fallu du temps pour l’envisager, j’ai ailleurs raconté comment cela a commencé, après une soirée bien arrosée. Un grand feu dans la cheminée, nous aimons nous rôtir les fesses quand, comme aujourd’hui, nous sommes à poil un jour où le temps est maussade.

Pour reprendre des forces, une grosse part du foie gras au torchon, du poulet, de la tarte, des fraises et une bonne bouteille de Bordeaux. Bondage de Marie l’après-midi, travail de ses seins avec des poids suspendus aux pinces accrochées aux mamelons, puis avec les carcans de ma fabrication ; travail aussi des lèvres de son con baveux, nos doigts partout. Dans un coin du jardin, volontairement conservé à l’état nature, il y a de splendides orties, exubérantes et particulièrement pleines de venin en ce début de printemps.

Vous devinez la suite ? Oui ; toujours à poil, nous sortons ensemble dans le jardin, cueillons avec des gants chacun une poignée de jeunes orties bien fraîches et nous badigeonnons respectivement fesses, cuisses, ventre, chatte et bite : rien de mieux pour réveiller une ardeur qui s’amortissait. Retour sur le canapé devant la cheminée et on remet ça ; pas les orties, mais les doigts, les langues et la bite en action. La bite a du mal à retrouver de la vigueur, mais Marie insiste, j’arriverai encore à lui labourer la chatte. Même si c’est plus calme que le matin on n’oublie pas que c’est le jour du trou du cul, on se le bouffe jusqu’à plus soif.

Le soir on regarde à la télé le résultat des élections, toujours tous deux à poil sur le canapé devant la cheminée où j’ai entretenu un bon feu. Un autre feu sur nos ventres et nos culs : celui des orties. Aucun candidat n’a obtenu la majorité absolue, il va falloir revenir voter la semaine prochaine et trouver d’autres jeux pour nos culs.

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